Une Croisière À LIl
C'était en 2015. J'étais en vacances à Formentera dans la maison de ma grand-mère. Chaque année, j'aimais la rejoindre pendant trois semaines. C'est une petite ile juste en face d'Ibiza, et c'était le paradis des hippies dans les années 70. Ma grand-mère faisait partie de ce mouvement et elle a, comme beaucoup acheté une fermette qui est devenue avec le temps une belle maison de vacances.
Dans cette ile, on peut presque tout faire, ... si on a du blé. Moi, je suis étudiante, alors je fais ce que je peux avec ma copine Charline. On a toutes les deux le même âge et nous nous fréquentons ici chaque été depuis qu'on est petites.
Avec le temps, ma grand-mère nous laisse de plus en plus libres de nos mouvements, et les 400 coups sont notre quotidien. Charline est une vraie blonde et presque aussi grande que moi qui suis brune auburn. Nous faisions une jolie paire, mais nous étions encore jeunes et peu expérimentées.
Cet été là, nous manquions d'idées. On faisait le tour des fiestas privées tous les soirs, mais dans la journée, on glandait avec nos scooters sur les plages près des chiringuitos pour draguer. Faute de mieux, et décidées à aller vers la plage de Illietes, on a voulu faire un stop au matin sur le port de l'ile, à la Savina. C'est un petit port, mais en saison, les places y sont chères car les touristes aisés ne souhaitant pas retourner à Ibiza se battent pour se protéger du vent la nuit. Les bateaux sont beaux, voire parfois très luxueux, mais pas toujours utilisés par leurs propriétaires.
Avec Charline, on a commencé à se faire des plans et on a prétendu qu'on allait se faire embarquer dans une ces embarcations de rêve. Elle a été la première à mettre son plan à exécution et a demandé à différentes personnes si elles pouvaient nous emmener pour la journée. Tout se passait en espagnol ou en anglais la plupart du temps, mais si on déniait nous répondre, c'était pour décliner notre proposition et nous demander d'aller voir ailleurs.
Je commençais à trouver la blague moins amusante quand un type d'une quarantaine d'années nous a surprises en ne nous rabrouant pas illico comme les autres. Par contre, il ne disait pas oui non plus. Il nous a jaugées et a commencé à blaguer en déclarant que les conditions de vie à bord dépendent du prix payé pour le billet. J'ai joué le jeu en endossant le rôle de la pauvre petite fille sans le sou, et promettant que nous ferions le pont et que serions des petites filles pas trop sages à bord. Nos grands sourires ont dû vaincre l'ours et il nous a dit "Bon, c'est OK, je vous embarque, mais il va falloir être très gentilles !"
Nous avons embarqué avec nos sacs de plage et nous avons largué les amarres.
Johan, puis que c'était son nom était seul à bord et a réalisé toutes les manuvres seul. On voyait bien qu'il était habitué à naviguer sans l'aide de quiconque. Sortis du port nous sommes partis vers le nord vers Ibiza.
Le soleil commençait à taper et nous avons visité le bateau qui marchait au moteur. Il était spacieux sans être un yacht de grand luxe. Johan nous a questionné sur nos vies et nous avons un peu embelli les choses : Je lui ai raconté que je débutais dans une agence de mannequins et Charline a prétendu être déjà en fin de première année d'école de commerce alors qu'elle ne faisait qu'y rentrer.
Arrivés à la pointe de l'ile, la trajectoire du bateau et le rythme du moteur se sont modifiées et Johan a jeté l'ancre. L'endroit était super enchanteur et l'eau transparente. On nétait pas dérangées par les autres touristes car pour venir ici, ou on dispose d'un bateau, ou on marche longtemps.
Après avoir tout vérifié et coupé le moteur, le commandant de bord a déclaré quil était temps de nous baigner et a baissé son maillot sans hésitation. Il faut dire que la zone est historiquement naturiste, et sans contrainte. Johan devait avoir dans la quarantaine bien tapé si ce n'es plus, il nétait ni gros, ni athlétique, mais ce qui est apparu marquant cest qu'il était plutôt poilu et bien membré.
Johan avait pris ses distances et nageait déjà le crawl jusqu'aux rochers pendant que nous discutions toutes les deux en barbotant, et nous félicitant de notre audace. Bien sûr, la vision de sa belle bite a donné lieu à des plaisanteries graveleuses. Nous n'étions pas totalement ingénues, mais nous n'avions ni l'une ni l'autre d'expérience avec quelqu'un daussi âgé que notre hôte.
Johan était ensuite remonté à bord sans nous parler et commençait à s'installer au soleil.
C'est quand nous sommes à notre tour remontées sur le pont que ses intentions nous sont apparues plus clairement : Il était là couché sur la banquette du cockpit, et nous a regardé très sérieusement.
- Je pense que vous n'allez pas garder votre bas de maillot ! Je ne vous ai pas embarquées pour que vous ne me fassiez pas ce plaisir.
Un ange appelé silence est passé et s'est installé nous, mais ma copine a juste répliqué
- Vous avez raison, nous sommes assez tranquilles ici.
et elle a baissé sa culotte. Je ne pouvais pas rester la seule habillée, même partiellement, et j'ai aussi dû abandonner mon bas de maillot. C'était étrange car je ne métais jamais mise nue sur une plage et encore moins devant un adulte. Je doutais que Charline n'ait une plus grande expérience que moi.
Nous avons pris nos serviettes et nous sommes allongées sur le roof pour bronzer. Johan s'est réinstallé sur le dos et je l'ai soupçonné de vouloir cacher une érection naissante car nous avions toutes les deux des petits culs blancs qui tranchaient avec nos peaux bronzées. Ma petite touffe dado avait justement disparu cet été, et Charline savérait avoir la même coupe et la même fente serrée de gamine ce qui n'était pas pour refroidir les envies d'un mâle normalement constitué.
Le silence s'est toutefois réinstallé, juste coupé par le clapotis de l'eau sur la coque et par quelques cris doiseaux.
Le soleil commençait à taper fort, et il m'est apparu indispensable de trouver en vitesse de la crème solaire pour éviter d'avoir le rose au cul dès le soir. J'en demandais à notre aimable capitaine et celui-ci m'indiqua un vide poches dans la descente vers la cabine. Une fois revenue en place je me suis mise à appliquer le produit sur mes seins, mon pubis et mes fesses. Ça me faisait vraiment drôle de passer mes mains sur ces zones interdites en présence d'un homme, et je crois même que je me suis mise à mouiller, Le plaisir était là et je sentais immédiatement que ce ne serait pas la dernière fois.
Charline m'a interpellée quand j'ai eu fini pour me demander de lui passer aussi la crème. Comme elle ne tendait pas la main pour la saisir, j'en ai conclu qu'elle attendait que je lui applique aussi et j'ai commencé par ses fesses. La zone me paraissait la moins compromettante et je me suis retrouvée un peu bête quand une fois fini, elle s'est mise sur le dos. J'ai timidement continué par ses hanches et j'ai dû petit à petit m'approcher de son sexe que je n'osais pas approcher.
Johann nous regardait tranquillement, et en m'en apercevant, j'ai senti de l'électricité parcourir de mon entre jambe. Nous étions totalement dans la situation qu'il attendait pour règlement de notre promenade et je me sentais à la fois excitée et obligée daller plus loin. Quand jai mis mes deux mains sur les seins de Charline, elle a ouvert les yeux grands. Sur le coup jai cru quelle allait se mettre à mengueuler mais sa bouche a dessiné un sourire et elle a clos ses paupières pour se concentrer sur linstant. La douceur de sa peau sous mes paumes métait agréable. Nous avions des seins de taille similaire, mais leur forme différait. Charline avait des seins plus lourds et plus adultes que les miens. Jappréciais leur volume et mamusais de lérection de ses tétons sous leffet de mes caresses.
Un sentiment de domination perverse menvahissait, et je jouais de plus en plus avec ses seins afin de voir à quel point je pouvais la mettre en situation gênante.
Quand je me suis souvenu de la présence de Johan, un choc plus fort mattendait. Il sétait assis sur sa banquette et navait plus aucune pudeur pour cacher son érection. Charline ne pouvait pas la voir car elle était toujours sur le dos, et je ne lui dis rien et ne cessais en rien mes massages. Plus je caressais la poitrine de ma copine, plus elle soufflait fort et plus Johan avait un membre qui me paraissait énorme. Ses couilles étaient encore plus visibles et javais une action directe sur tout cela.
Je me surpris à passer la langue sur mes lèvres, et le regard de Johan, ses yeux directement dans les miens, semblait attendre une escalade que je navais pas anticipé.
Je regardais Charline, elle avait toujours les yeux fermés et en regardant plus bas, je notais quelle aussi, mouillait sérieusement. Comme elle ne pouvait se retenir décarter régulièrement les cuisses, javais une vue complète sur lensemble de son entre-jambe qui mautorisait à voir les lèvres de son vagin rosir et souvrir sous leffet de lexcitation. Jétais bien certaine dêtre dans le même état, mais étant assise, personne ne pouvait le vérifier.
Johan, avec trois de ses doigts a commencé alors à se caresser lentement. Cétait un geste doux et lent. Rien à voir avec la masturbation frénétique quun petit ami mavait montré à ma demande. Il parvenait encore à remonter son prépuce autour de son gland mais je le voyais forcer pour ce faire.
Il ne tenait plus quà moi de passer à létape supérieure. Je nétais pas convaincue que ce fût une bonne idée, mais il mest apparu que cétait la seule issue possible à notre scénario. Je déplaçais ma main gauche et la dirigeais vers lentre jambe de Charline. Encore une fois, de surprise, elle ouvrit ses yeux tout grands, mais cette fois ci tenta de se relever comme pour chercher de laide, ou, tout au moins, une explication à ce qui se passait. Elle a repéré Johan et vite compris. Je le sais dautant plus que lhumidité de son sexe sest transformée en une inondation en quelques instants et quelle a changé de position pour se mettre sur le ventre, dans laxe du branleur.
Jétais sans voix. Pas de rébellion, au contraire. Charline relevait même les fesses pour que je reprenne mon massage. Un regard complice et je la voyais tout en me regardant en train de replier ses jambes pour se mettre sur ses genoux, tout en gardant la tête sur ses bras sur la serviette.
Cétait obscène. Javais vue sur sa chatte ouverte et trempée ainsi que sur son petit trou mais Johan ne bougeait pas et ne pouvait quimaginer ce dont je disposais maintenant. Il profitait de la scène comme un chat profite du soleil. Il continuait à se caresser lentement, comme sil voulait prolonger le film le plus longtemps possible.
Jai remis mon index dans le ventre de Charline, mais il était évident quil ne suffisait pas, et quil devait être rejoint par un second doigt, voir un troisième. Cest donc naturellement et assez rapidement que je me suis surprise à me caresser de la main droite pendant que je perforais la chatte de Charline qui ronronnait de plaisir en montant son cul le plus haut possible.
Jai alors pris peur que la situation dé avec un Johan qui me semblait de plus en plus rapide dans ses mouvements, et jai opté pour une solution extrême, mais salutaire : Il fallait que je rende la situation la plus excitant possible pour que Johan éjacule sans nous toucher. Dans cet objectif, jai tiré ostensiblement la langue et jai plongé entre les fesses de Charline pour la finir avec la bouche. La découverte du gout des filles nétait pas totale car javais pris pour habitude de me sucer les doigts quand je me masturbais, mais le gout ici était un peu différent. Un peu de sel de mer ne faisait pas de mal à la dégustation dun bon fruit de mer. Je tendais la langue autant que possible pour lui aspirer le clitoris. Je pouvais mesurer à loreille lefficacité de mes attaques mais plongée entre ses fesses, je ne pouvais plus contrôler notre skipper voyeur, ce qui me stressait. Charline a commencé à flancher et sest couchée sur le dos en mentrainant vers elle. « Donne-moi aussi ta moule que tu ne sois pas en reste » Le temps de comprendre son intention de minstaller en 69 avec elle, je pu constater que Johan restait gentleman et le voyeur que jespérais. Toutefois, je parvins à faire pivoter ma copine pour reprendre ma surveillance tout en lui broutant le coquillage. Javais à nouveau la satisfaction de me faire reluire et, moi qui adorais quand les garçons acceptaient de me lécher, jétais aux anges. La langue de Charline ne manquait pas daudace et visitait tous les recoins de mon corps. Elle était agile et parcourait mon sillon de mon petit bouton jusquà
ce que je navais jamais considéré comme une source de jeu.
Je lui dis en français :
- Salope, tas pas le droit ! Tu me bouffes le cul là ! »
- Et alors ? Tu naimes pas ?
- Si justement, mais cest sale.
Devant son silence et son refus dinterrompre, je me suis obligée à étendre mon terrain de jeu et à lui visiter la petite porte avec ma langue.
- Copieuse !
Pendant que la jouissance montait, je voyais Johan qui sastiquait maintenant sans retenue et me regardait toujours dans les yeux alors quil lâchait enfin de grandes quantités de foutre sur son ventre.
Le savoir me mater alors que je me gouinais avec ma copine, de me savoir-faire en extérieur les pires cochonneries, et de me dire en silence que jétais une pute a déclenché un orgasme tel que je nen avais jamais connu.
Je me suis mise à serrer convulsivement la tête de ma copine entre mes cuisses et je ne sais pas si je ne lui ai pas même pissé dessus à loccasion de cette vague de plaisir. Je ne contrôlais plus rien de rien.
Charline avait aussi pris son pied et nous nous sommes tous les trois retrouvés nus comme hébétés.
Johan a commencé à se lever et nous a dit :
- Et bien les filles, je crois que vous avez gagné le droit à revenir. Vous étiez à la hauteur de vos promesses et jai eu beaucoup de plaisir à vous regarder.
Il a sorti un appareil photo et nous a demandé si on acceptait. Devant une telle demande et ayant encore la tête en vrac, on a accepté.
Ce nest pas la photo ci-dessus, car celle-ci a été prise plus tard lors dune autre virée. Ce jour-là la photo était certainement moins soft, mais je ne l'ai jamais vue. Charline avait encore le visage luisant de mouille et on voyait que nous avions toutes les deux des sexes bien excités, mais vous le devinez, ce nétait quune première fois.
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